INTRODUCTION.

Qui sommes-nous?

Nous nous appelons Guido et Babs Klabbers-Metaal. Depuis 2006 on habite hors d’un petit village dans le sud de la Hollande, nommé Nederweert Eind Tous les deux nous sommes en retraite en nous espérons d’avoir le temps à nous pour des années nombreuses. Nous avons une maison agréable, un grand terrain avec beaucoup d’espace pour nos chiens et nous deux. Nous aimons de jouer et de s’entraîner avec nos chiens, même nous aimons le travail dans le jardin et de s’y reposer de temps en temps. Nous aimons la vie campagnarde. Dans notre région il y a de nombreuses forêts, des champs et des endroits pour s’en aller à pied avec nos chiens.

Tous deux, dans nos familles paternelles nous avons eu des chiens dans et autour de nos maisons. Guido s’est élevé dans la province d’Utrecht, Babs est née et élevée dans la province de Brabant. Dès le moment où nous étions ensembles, nous avons habité les régions différentes dans la Hollande, toujours dans la compagnie de plusieurs chiens de races différentes.

Alors : on vous souhaite le bienvenu chez nous sur notre home page, et chez nous deux, pour faire la connaissance avec nos chiens et nous.

Notre mâle Enormous Only the Lonely est né de 13.08.2016 à Warszawa (Pologne) dans les mains douces de Anna Pieczynska, producteuse (Kennel ENORMOUS) de la race fière du Hovawart. Il est notre 4ième Hovawart. Nous avons rencontré Anna Pieczynska en 2004, quand elle nous assistait à la vente de notre premier Hovawart mâle Romeo Jambo Ankora Estilo, un fils du célèbre Jambo von Wittlerdamm, qui avait une portée aves Ankora Estilo, une belle blonde qui habitait dans la région de Gdansk (Pologne) chez des gens, qui ne parlaient que du Polonais. Anna avait fait un voyage longe autours des grandes montagnes de neige, pour nous assister avec notre choix. Elle a le vrai cœur pour le Hovawart, elle les en a eu depuis sa 14ième année. Son premier Hovawart était Aggi Oldtyr. Elle produit des Hovawarts depuis 24 ans à ce moment, et jamais elle avait un incross de plus de 0% !! Quel effort qu’elle se prend pour produire des chiots de telle grande qualité. Voyez sa page www.hovawart-pl.com.

Monsieur Janssen avait 15 semaines quand il est venu vivre avec nous en Hollande. Je l’ai cherché en voiture, dans la compagnie de notre femelle Hovawart Enormous Essential Evidence (nommée « Jetje » chez nous). Il observait le monde avec un air calme, équilibré et souverain. Dès le moment où nous nous sommes rencontrés, il faisait du contact direct avec moi. Pendant le loisir dans la famille d’Anna, notre contact grandissait. Le moment de départ n’était pas grave pour lui, mais pour Anna c’était grave. Malgré le fait, qu’elle avait déjà produit de nombreux chiots, chaque moment de départ est difficile pour elle. Pendant le voyage long de Warszawa à chez nous il se comportait formidable, aussi grâce à les soins ‘maternelles’ de notre femelle Jetje, qui m’accompagnait pendant le voyage épuisant et dangereux.

Comme chiot notre petit gamin était d’une santé impeccable : ces anatomies formidables garantissent la base d’une santé solide pour une longe vie (voyez tous ces certificats de santé) ainsi corporelle que mentale. Son dos étant d’une force étonnante, la portée de la queue merveilleux et ces mouvements remarquablement solides… son poil noir foncé…, tout court : un vrai mâle de qualité supérieure. Il avait bien fait ces testes de chiots à l’âge de 6 semaines et les résultats nous avons donnés le plus grand respect pour ses perspectives dans la vie. Sa santé mentale soutenait son comportement calme et équilibré. Il était un choit vraiment curieux et très inventif.

La première nuit il s’est couché dans sa courbe à coté de mon lit (pas là-dedans !) el il dormait sans problèmes. Il était propre (il nous réveillait pour faire pipi etc.), il connaissait la ligne de promenades, il mangeait bien. Il écoutait avec grand intérêt aux changements de timbre dans nos voix (invitant, correctivement, enthousiasmant, récompensant). Incroyable, quel chien !

Comme il grandissait, notre petit monsieur Janssen ! On lui donnait des quantités de ses repas bien contrôlés, et des périodes de repos régulées, des promenades dans la nature pas trop longue. Combiné avec une éducation écolaire (commençant avec l’école maternelle, puis l’école élémentaire, ensuit... ensuit…) et stimulante, il découvrait le monde autour de lui pas à pas (les voitures, tracteurs, le facteur, la ville et le marché, des restaurants, des trains, des chevaux, des vaches et naturellement… tant de bicyclettes). Il se montrait courageux et sa jeunesse était une période avec beaucoup de plaisir et peux de problèmes. Il grandissait dans une manière équilibrée étonnante jusqu’`a maintenant, où il est un chien qu’on respecte et adore. Dès son 16ième semaine, il défendait nos terrains ensemble avec nos deux autres Hovawarts, Rens et Jetje.

La puberté : une période difficile pour enfants et parents. Heureusement il ne recherchait que nos frontières et limites de nouveau. Il nous conformait totalement dans nos expectations.

Qui donne de confidence, recevoit de confidence en retour. D’un chien, c’est à dire… Il ne nous a jamais donné un moment de mépris. Il est devenu le chien ferme, loyal et ferme qu’on se désire.

Malheureusement notre mâle le plus âgé mourait à l’âge de 12,5 ans, à cause de la maladie effrayée de Myelopathie Dégénérative, une maladie héréditaire et forcement épuisante. Pendant les derniers mois de Rens, notre Monsieur se conduisait avec empathie, respect et avec beaucoup de patience pour Rens. Il prenait tous ces égards contre le pauvre vieillard.

Rens, il savait qu’il fallait mourir, et quand le vétérinaire lui avait aidé de passer le pont de l’arc-en-ciel, nos deux Hovawarts Jetje et Monsieur Janssen veillaient sur lui. Après trois quart ’heures ils sont parties par la porte ouverte, tous deux, très calme.

Entre les circonstances nous avons trouvé ce comportement un adieu d’un chien très confortant.

Voyez aussi Chapitre - Enormous Only the Lonely - Les caractéristiques de notre Hovawart Enormous Only the Lonely.

TOUTE LA VIE AVEC DES CHIENS.

Comme dit, tous les deux nous avons eu des chiens entre nous pendant nos jeunesses. On ne vit pas vraiment sans des chiens ! Aujourd’hui je me rappelle encore bien ma petite sœur, dans sa berceau, tenue calme et chaude par…. notre Teckel. Après les heures lourdes à l’école je me promenais toujours avec nos chiens dans les forêts tout près de chez nous, avant de reprendre mes devoirs. Ainsi Guido vivait comme mois, toujours avec des chiens autours de lui. Pendant nos années sauvages (habitant comme étudiants, etc.) et n’ayant pas de pied-à-terre, il n’y avaient pas des chiens naturellement. Même quand mes enfants étaient petit, j’ai eu des chiens chez moi. Surtout je me rappelle un chien formidable, qu’habitait chez mes voisins… et que gardait mes jumeaux… un Hovawart… malheureusement j’avais perdu le contact avec ces voisins, la vie te prend par la main et te dirige dans d’autres directions…

À la plage, printemps1976. Le beau Hovawart mâle blond Pascha de mes voisins avec son ami Pico, le petit chien noir, mon fils et moi (26). Ce Hovawart était vraiment beau, son corps étant très bien construit avec son charactère superbe. En réalité il était plus blond (vieux photo!).

En 1984 nous nous sommes rencontrées et Guido avait un chien de chasse dans ce temps. Il était présent à notre mariage en 1987. Quand ce chien était mort, nous avons commencées de nouveau avec un amour de jeunesse : Le Beagle. Un Beagle, deux Beagles, trois Beagles, etcétéra…. Notre petite meute privée nous a contaminé définitivement avec un virus très résistant : Le virus de l’amour pour chiens qu’on travaille avec. La production des chiots, le travail pour les expositions, des épreuves de travail en Europe… on se réalisait vers le tournant du siècle, que la race des Beagle est une race pour des jeunes gens. Notre meute privée se diminuait de huit Beagles, sept, Beagles, six Beagles… etcétéra jusqu’à zéro Beagles… Hélas…

Comme chassé par un vent fort, le temps passait. À cause de maladies de nous deux la recherche pour une race plus équilibrée commençait et parfois je me rappelais ce Hovawart blond mâle des temps perdus, quand les enfants étaient 1,5-2,5 ans…. J’avais des voisins (plus d’il y a 40 ans !) qu’avaient un Hovawart. Il venait de caresser mes enfants. Il glissait comme un reptile sous la haie une fois par jour pour être chez mes jumeaux…. Je me souvenais qu’il venait de la France, mais rien de plus, hélas. Il fallait chercher tout de nouveau !

Grâce à internet on peut rechercher le monde entier. Je cherchais sur des pages www. de tellement de producteurs en Europe, dans tous les pays, je cherchais à côtés des rings d’expositions mais je ne retrouvais plus jamais cette combination de beauté, grâce, courage, douceur de charactère et de poil, gentillesse et de noblesse. Un demi an je cherchais partout.

Tout d’un coup je voyais un mâle noir cousteau avec un air de noblesse que me bouleversait. Son propriétaire avait un numéro de téléphone, une adresse d’e-mail…. Et moi, je prenais la téléphone….

Et alors…. Il s’appelait Jambo von Wittlerdamm et nous lui ont visité en Allemagne et oui, il avait une portée avec une belle femelle blonde et…. Hélas, très loin de nous…. En Pologne, dans les environs de Gdansk et en hiver… ça donne un voyage long et dangereux. Quand même je n’hésitais pas et j’ai téléphoné directement au numéro de contact, qu’on m’avait donné…. Une jeune femme qui parlait l’anglais répondait tous mes questions et m’expliquait tout ce que je voulais savoir. El m’offrirait de nous assister avec notre choix, parce que les producteurs ne parlaient que le Polonais… elle habitait à Warszawa mais voudrait bien faire le voyage à Gdansk à volonté pour nous aider. Si gentille !! La neige étant haute env. 1 m….

Il y avait encore un mâle noir très foncé qui était libre et nous avons prix la voiture et nous nous ont mis en voyage.

LES HOVAWARTS VIENNENT DANS NOTRE VIE

Avant de continuer à lire, je vous conseille de conseiller le standard de la race Hovawart, pour faire une promenade entre tous les détails que font un Hovawart comme-il-faut être.

Standard de la race Hovawart du Fédération Cynologique International (Nr. 190) ci-adjoint.

POURQUOI UN HOVAWART ?

Dans de standard de la race du Hovawart, vous avez lisez, que le Hovawart est un chien de noblesse, digne et fier, avec un charactère équilibré. Mes mémoires à cet Hovawart blond, dont je vous ai raconté, me laissaient prendre place avant de mon compteur, et la recherche après un si calme, aimable chien de grande beauté avait commencé. Le cherchait pendent un demi-sang, partout en Europe, je visitais des expositions en Hollande et en étranger, et je n’arrivais pas à trouver la combination des détails de santé, de charactère, de beauté, etc. etc. Pendent mes études Cynologique j’avais apprenné tout ce qu’est important comme anatomie et de charactère de toutes races de chiens.

Après nos années avec tous nos portées de Beagles, nous ne voudrions plus produire des chiens nous-mêmes. La production est un métier très récompensant, plein de bonheur et surprises mais aussi un métier avec beaucoup de douleurs. En tout cas, quand on commence avec une race nouvelle il faut beaucoup de temps et des expériences nombreuses pour aller oser organiser un vrai Kennel de production. Le Hovawart pèse 35-45 kilos, il est né pour le travail de garde et où, mon Dieu, où je trouve un tel Hovawart comme lui, qu’autrefois gardait mes jumeaux et quel chien aura un charactère 100% digne et loyal ? Alors, tout bref : on cherchait un mâle !

POURQUOI CES HOVAWARTS ?

Parce que nous sommes tombés amoureux. Tous des deux… amoureux d’un chien noir foncé ! Pas Blond ! Il avait la beauté, la fierté, le charactère que je reconnaissais, Mais…. Il y a toujours un Mais.

Ce chien n’habitait pas par le coin. Son père habitait l’Allemagne, et lui, il avait une portée en… Pologne, dans les environs de Gdansk… il avait fin de novembre et l’hiver était fort dans ces jours-là, alors….

Finalement c’était Anna, que me convainquait de prendre la voiture et de faire un voyage long et dangereux vers les côtés de la mer de l’Est pour visiter la portée de Jambo et Ankora.

Le matin où je me réveillais dans ma chambre d’hôtel et ouvrait les rideaux j’avais une vue sur la mer congelée avec la silhouette de Kaliningrad à l’horizon. Pour ne jamais plus oublier !

A 09.00 heures ce matin en 2004 on était tous là, chez les producteurs si aimables, pour choisir notre chiot d’une portée si belle…. Oh lala, quels chiens ! Anna Pieczynska avait défit des grosses montagnes de neige entre Warszawa et la côte de l’Est pour nous conseiller et assister avec notre choix. Notre chiot favori répondait à tous nos désirs et après une longue liste de bons conseils et un bon café on rentrait en Hollande pour un voyage à travers de la Pologne et l’Allemagne que durait 14 heures. Notre petit amour se comportait comme un vrai copain, prêt pour son futur avec nous en Hollande. On lui a nommé : Rens, ce petit séducteur Romeo Jambo Ankora Estilo.

Romeo Jambo Ankora Estilo ("RENS“ pour des amies).

Il devenait un vrai ami de famille du moment de son arrivée chez nous et on l’aimait intense. Il était beau, très beau, charmant, équilibré et courageux. Après quelques années je faisais de nouveau un voyage en Pologne, cet fois par avion à Warszawa pour chercher chez Anna Pieczynska notre deuxième Hovawart, une petite fille blonde du célèbre Aggi Oldtir. Et elle devenait notre « belle beauty » qu’on appelait Pleun.

Enormous Déja Vue of Aggy (“Pleun” pour des amies).

Parce qu’on savait malheureusement que « Rens » n’avait pas la vie éternelle -il souffrait déjà de la maladie Myelopathie Dégénérative- on décidait de prendre un avion à Warszawa de nouveau, car Anna Pieczynska avait une portée très prometteuse. Et de nouveau on choisissait une femelle, et de nouveau une belle petite fille noir foncé, qu’on appelait Enormous Essential Evidence « Jetje ». Les deux femelles grandissaient ensemble pendant de 5 années, malheureusement nous avons perdue notre Pleun à cause d’un accident.

Enormous Essential Evidence (“Jetje" pour des amies).

Elle nous étonnait tous les jours de sa vie : gagnant championnat sur championnat sur des expositions, étant une véritable héroïne, elle roulait bruyamment sa vie trop courte (el mourrait à l’âge de 7+ ans à cause du cancer).